Faits saillants des HRI au mois de février depuis 25 ans

En février 2015 avait lieu la toute première édition du salon virtuel HRI. Bilan des courses : plus de 1700 internautes se sont connectés au salon virtuel dans le mois.
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Du 5 au 8 février 2018, le Centre Phi accueillait l’évènement Women with Knives pour discuter de l’égalité des sexes et plus particulièrement de la place des femmes en cuisine.
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En février 2018, le gouvernement envisageait de modifier l’article 50 de la Loi sur les normes du travail (LNT) pour répartir les pourboires et les syndicats de l’industrie s’y opposaient. Pour faire le point sur un sujet toujours d’actualité :
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Le 20 février 2018, le gouvernement annonçait qu’il versait une aide financière à l’AHQ dans le but de créer un réseau indépendant pour valoriser les auberges québécoises. Une opportunité pour elles de gagner en reconnaissance.
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La fermeture chronique des restaurants durant ces deux années de pandémie a conduit à l’essor d’un nouveau modèle de restauration : les cuisines fantôme. Le 5 février de l’année dernière, nous avions publié un article à ce sujet.
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Avec la pandémie et les restrictions de déplacement qu’elle a entraînées, les habitudes de vacance ont évolué. En février 2021, nous avions dédié un article au phénomène de staycation.
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Qui dit pandémie dit fermeture des restaurants… L’enseignement de la restauration a lui aussi dû s’adapter. Pour revenir sur le sujet avec le cas du Cégep St-Jérôme :
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Le premier fait saillant de HRImag : février 1997

C’est traditionnellement en février que se tenait le salon de l’Association des fournisseurs d’hôtels et restaurants, un des rendez-vous majeurs de l’industrie.

C’est lors de ce salon en février 1997 que le premier numéro de HRImag voit le jour, ce qui donne lieu à un kiosque entièrement décoré de revues. Cette nouvelle publication en a surpris plus d’un : si une autre publication plus commerciale existait, aucune ne traitait de l’intelligence d’affaires de l’industrie. Après un an de maturation du projet, la première édition est disponible. Déjà, plusieurs compagnies avaient placé des publicités dans cette première édition.

Il faut se rappeler qu’à ce moment-là, ni internet ni les cellulaires n’existaient. Le papier vivait ses dernières années d’apogée. Depuis, le média s’est fait une place sur la toile, ses formats se sont multipliés et sa pérennité est assurée. Encore aujourd’hui, on se réjouit chaque fois qu’un nouveau magazine sort, en se disant : « C’est le plus beau qu’on n’ait jamais fait… »