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Semaine de la Poutine : « On est là pour appuyer les restaurants »

 
18 janvier 2021 | Par Marie Pâris

« Cette année, plus que jamais, chaque poutine consommée est un signe de loyauté pour les restaurants, pour nous, pour notre communauté. L’industrie de la restauration et la communauté des foodies ont besoin de bonnes nouvelles, et La Semaine de la Poutine en fait partie. » Si Na’eem Adam est très fier d’annoncer la 9e édition de la Semaine de la Poutine, qu’il a cofondée, il a bien failli annuler le festival cette année vu le contexte. Mais suite à un sondage lancé auprès de ses clients, la réponse est quasi-unanime : 2021 a besoin de sa Semaine de la Poutine, et les restaurateurs aussi. Elle se tiendra donc du 1er au 7 février prochain.

Cette année, pandémie oblige, pas de collants ou de petites affiches pour les tables des restaurants, pas de vidéos ni d’influenceurs envoyés dans les établissements. Le festival a par contre baissé son tarif d’inscription de 500$ à 200$. « Pour les restaurants pour qui c’est trop compliqué financièrement, on prend aussi des inscriptions gratuites », précise Na’eem Adam.

Lors des éditions précédentes, le festival réunissait environ 500 participants. Cette année, si les organisateurs s’attendaient à en rassembler un petit 200, 700 établissements ont répondu à l’appel. « La réponse est très bonne, on ne s’attendait pas à ça ! Cette Semaine de la Poutine, ça va être notre plus grand festival à date », s’enthousiasme le cofondateur, qui a quitté son emploi à temps plein début 2020 pour se concentrer sur les festivals.

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Profiter de la publicité du festival

Parmi les 225 restaurants participants dans la province, ils sont de plus en plus nombreux à être hors des grandes villes, notamment dans la région de Québec : Saint-Apollinaire, Saint-Raymond, Saint-Augustin-de-Desmaures… Le cofondateur Na’eem Adam note également que le nombre de participants a doublé en Ontario, où « le trend de la poutine augmente énormément ».

« En ces temps difficiles, c’est important pour nos clients d’être rattachés à quelque chose qui fait beaucoup de buzz. Ils profitent du marketing et de la publicité qu’on fait autour de la Semaine de la Poutine. Des millions de visiteurs vont sur notre site chaque année, explique le cofondateur du festival. On est là pour appuyer les restaurants en les aidant à mousser leurs ventes par l’entremise d’une plateforme nationale qui célèbre notre plat le plus reconnu et le plus populaire. »

Pour cette édition, qui se passera donc par cueillette et livraison, la Semaine de la Poutine a fait un partenariat avec la plateforme Skip The Dishes. La livraison sera-t-elle de retour dans les prochaines éditions ? « Peut-être, on va se garder l’option, mais c’est sûr que c’est mieux quand les gens vont dans les restos... », pense Na’eem Adam. Dès la fin de la Semaine de la Poutine, il planchera sur son autre festival, la Semaine du Burger, qui, pandémie ou pas, fêtera sa dixième édition en septembre 2021.

Pour suivre la Semaine de la Poutine :

Mots-clés: Québec (province)
Restauration

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