LE COMMERCE DE L’ALIMENTATION ET DE LA RESTAURATION ALIMENTAIRE
L’esprit start-up
L’ESPRIT START-UP
« L’activité fondamentale d’une start-up consiste à transformer des idées en produits, à évaluer la réaction des clients, puis à en tirer les enseignements qui lui permettront de décider si elle doit pivoter ou persister. Tous les processus mis en œuvre par une start-up florissante doivent viser à accélérer le rythme de cette boucle de feed-back. » — Eric Ries (2015, p. 17)
« Le but d’une start-up est d’imaginer le bon produit - dont les clients voudront et qu’ils seront prêts à acheter - le plus rapidement possible. » — Eric Ries (2015, p. 28)
« Une start-up est une structure commerciale organisée par des personnes qui cherchent à concevoir un nouveau produit ou service dans des conditions d’extrême incertitude. » — Eric Ries (2015, p. 35)
« La plupart des outils du management traditionnel ne sont pas conçus pour un rude milieu de l’extrême incertitude dans lequel se développe une start-up. » — Eric Ries (2015, p. 37)
« J’en ai conclu qu’apprendre, tirer les leçons de ses erreurs est la condition sine qua non de la progression de toute start-up. Tout effort qui n’est pas absolument nécessaire pour savoir ce que veulent les clients doit être éliminé. C’est ce que j’appelle la validation des enseignements, qui se traduit toujours par une amélioration des indicateurs clés d’une start-up. » — Eric Ries (2015, p. 58)
« [...] dans une start-up, tout échec est une expérience dont on peut tirer une leçon. » — Eric Ries (2015, p. 58)
« L’essentiel, pour l’avenir, est d’apprendre à considérer toute start-up de n’importe quel secteur comme une grande expérimentation. » — Eric Ries (2015, p. 64)
« Dans le modèle Lean Start-up, chaque produit, chaque fonctionnalité, chaque campagne de marketing (tout ce que fait une start-up) est compris comme une expérimentation dont le but est de parvenir à une validation des enseignements. » — Eric Ries (2015, p. 64)
« Une start-up est, par essence, un catalyseur qui suscite la transformation d’idées en produits. » — Eric Ries (2015, p. 84)
« [...] les produits d’une start-up sont bel et bien des expérimentations qui permettent d’apprendre comment créer une activité durable et prospère. » — Eric Ries (2015, p. 84)
« [...] une start-up doit mener des expérimentations qui l’aiderons à déterminer quelles techniques marchent dans son cas à elle. » — Eric Ries (2015, p. 91)
« Les entrepreneurs doivent comprendre les raisons qui sous-tendent la croissance d’une start-up. » — Eric Ries (2015, p. 95)
« Le premier plan stratégique d’une start-up sera probablement guidé par l’intuition, ce qui est une bonne chose. Pour transformer cet instinct en données, l’entrepreneur doit sortir de son bureau et parler avec les clients pour se mettre à apprendre. » — Eric Ries (2015, p. 96)
« Une start-up doit entrer le plus possible en contact avec ses clients potentiels afin de les comprendre. » — Eric Ries (2015, p. 99)
« Au départ, une start-up ne ressemble à rien d’autre qu’une idée jetée sur une feuille de papier. » — Eric Ries (2015, p. 127)
« Toute initiative entreprise par la start-up, qu’elle concerne le développement produit, l’activité commerciale ou autre, doit viser à améliorer l’un des éléments moteurs du modèle de croissance. » — Eric Ries (2015, p. 133)
« Tôt ou tard au cours du développement de son produit, tout créateur de start-up doit relever un défi capital : savoir quand changer de cap et quand persister. » — Eric Ries (2015, p. 165)
Quels produits les clients souhaitent-ils vraiment ? Comment notre activité va-t-elle croître ? Qui sont nos clients ? Quels clients avons-nous intérêt à écouter, et quels clients pouvons-nous ignorer ? Voilà les questions auxquelles vous devez répondre aussi vite que possible pour accroître les chances de réussite de votre start-up. Ce sont ces réponses qui créeront la valeur de votre entreprise. » — Eric Ries (2015, p. 197)
« Le moteur de croissance est le mécanisme auquel les start-up recourent pour se développer de manière durable. J’emploie ce terme afin d’exclure les actions ponctuelles qui génèrent un afflux soudain de clients sans avoir d’impact à long terme... » — Eric Ries (2015, p. 222)
« L’esprit start-up, c’est celui de la modestie, de la remise en cause permanente : on teste, on se plante, on change… C’est également celui du risque : si on ne tente rien, on n’obtient rien. » — Stéphane Biso et Marjorie Le Naour (2017, p. 46)
« […] l’esprit start-up, c’est retrouver le bonheur d’apprendre dix, vingt, trente choses nouvelles par jour à travers et avec ses collègues, ses collaborateurs, dans un esprit de camaraderie. » — Stéphane Biso et Marjorie Le Naour (2017, p. 46)
« Les start-up internes peuvent croître au point de devenir des domaines d’activités à part entière, voire de nouvelles divisions. » — Eric Ries (2018, p. 66)
Manuel de gestion-réflexion / Christian Latour
(A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V WXYZ)
Pour communiquer avec Christian Latour 😎
• Sur Facebook : Christian Latour
• Sur Twitter : @Christian Latour
• Sur LinkedIn : Christian Latour, MBA
Notes
[1] L’attention est déterminante dans la façon dont nous exécutons n’importe quelle tâche.