KYOZON
- Ouverture officielle : 17 septembre 2014
- Propriétaires : Brian Bendix, Chris Nacos, Tom Nacos, Marcel Elefant et Steven Elefant du groupe Stambac International
- Designer : firme Andres Escobar & Associés
- Nombre de places : 250 + 70 en terrasse
KYOZON vise à offrir une expérience multidimensionnelle entre le bar et la cuisine. Le tout nouvel établissement, situé rue Crescent, est réparti sur deux étages. Au premier niveau, le resto-bar impressionne par son immense bar central. Au deuxième niveau, une mezzanine surplombant le resto-bar est délimitée par le tapis Kaiten sur lequel circule des plateaux de sushis allant de 2 $ à 7 $ l’assiette, selon un code de couleur.
Grand de 8 500 pieds carrés, le restaurant peut accueillir jusqu’à 250 convives auxquels peuvent s’ajouter les 70 places supplémentaires de la terrasse.
Plus qu’un simple restaurant japonais, le menu élaboré par le chef Kingshuk Day, se veut « néo-asiatique », soit un amalgame de différentes spécialités asiatiques modernisées et réinventées parcourant les saveurs de la Chine, de la Thaïlande et du Vietnam en plus du Japon.
Qu’est-ce qu’un tapis Kaiten ? Inspiré par un tapis convoyeur transportant des bouteilles de bière dans une brasserie Asahi, Yoshiaki Shiraishi, un propriétaire de restaurant japonais ayant de la difficulté à recruter du personnel, a décidé de reprendre le concept en l’adaptant à la restauration afin de servir mieux et plus rapidement ses clients.
KYOZON est fier d’avoir importé le concept à Montréal et d’en faire profiter les gens 7 jours sur 7. Andres Escobar et son équipe ont su aménager un espace convivial et décontracté, exploitant des matériaux industriels et uniques, tels qu’un bar fait de bois de grange vieilli ainsi que des tables conçues avec d’anciennes planches d’allées de bowling.
Bar central au premier niveau
Le fameux tapis Kaiten
Concept multidimensionnel entre le bar et la cuisine
KYOZON : Mot d’origine japonaise signifiant « coexister »
KYOZON, 1458, rue Crescent, Montréal
Photos du décor : © Nicolas Shapiro
Photo en tête d’article : © Georges Alexandar/Hashtag Media
