LE CONNERCE DE L’ALIMENTATION ET DE LA RESTAURATION ALIMENTAIRE
Des femmes-chefs qui montent... selon le magazine ELLE Québec
Selon les résultats des études réalisées au cours des dernières années, les préférences des clients en matière de restauration s’expriment le plus souvent à travers les 11 composantes suivantes :
- La qualité et l’originalité de votre offre nourriture et boisson ;
- Les qualités et les compétences particulières de votre personnel ;
- Les services complémentaires offerts dans votre établissement ;
- Les caractéristiques et l’emplacement de votre restaurant ;
- Les spécificités de votre support physique (local, matériel, équipement, ameublement, décor) ;
- Le profil et les caractéristiques des clients qui fréquentent votre établissement ;
- L’efficacité et l’originalité de vos efforts de communication et de commercialisation ;
- La renommée de votre établissement ;
- 9. La réputation de votre chef ;
- La renommée des personnes qui travaillent dans votre entreprise (propriétaires, directeurs, sommelier, maître brasseur, et, etc.) ;
- L’ambiance de votre établissement.
Constat
La réputation du chef est une variable importante pour expliquer le pouvoir d’attraction d’un restaurant.
Qui sont les femmes chefs les plus réputés du Québec ?
Voici 9 suggestions du magasine ELLE Québec (mars 2011 no 258) :
1. Helena Loureiro… (son âge ? / Chef propriétaire du restaurant portugais Portus Calle (Montréal)) ;
2. Emma Cardarelli… (son âge 33 ans / Chef du Liverpool House, Montréal, depuis 2007) ;
3. Sophie Juneau… (son âge 32 ans / Chef du Continental bistro, Montréal, depuis 2006) ;
4. Marie Chantal Lepage… (son âge ? / Chef exécutive du Château Bonne entente, Québec) ;
5. Anne Desjardins… (son âge ? / Chef de l’eau à la Bouche, Sainte-Adèle) ;
6. Stéphanie Gagnon… (son âge ? / Chef des Cavistes, Montréal) ;
7. Johanne Vigneault… (son âge ? / Chef de La Table des Roy, Iles de la Madeleine) ;
8. Marie-Fleur ST-PIERRE… (son âge ? / Chef du Tapeo, Montréal) ;
9. Colombe ST-PIERRE… (son âge 33 ans / Chef et copropriétaire de Chez Saint-Pierre bistro-pub, Rimouski, depuis 2008).
Voici quelques faits intéressants mentionnés dans le magasine :
- « Les femmes investissent cette discipline d’élite… et atteigne les sommets ».
- « Actuellement. A l’institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec (ITHQ), 40 % des étudiants en cuisine sont de sexe féminin. »
- « En 2004, le Conseil québécois des ressources humaines en tourisme estimait que 17 % des chefs étaient des femmes. En 2010, ce chiffre atteignait 24 %. »
- « Ça ne fait pas l’ombre d’un doute : autant de filles que de gars ont l’étoffe nécessaire pour devenir chef, tranche Pasquale Vari, chef qui enseigne à l’ITHQ. Tout est affaire de caractère. »
- « Les femmes travaillent avec plus de sensibilité, de sensualité, que les hommes. » déclare Alain Ducasse
- « Sauf exception, le milieu et le public sont prêts à accueillir des chefs féminines. Ce sont les filles elles-mêmes qui, bien souvent, ne veulent carrément pas ce travail. » Pourquoi ?
- « La maternité, actuelle ou à venir, serait la raison-clé qui empêcherait les filles de s’investir à fond dans le métier. »
- « Les filles seraient plus réfractaires que leurs confrères à l’idée de sacrifier leur qualité de vie. »
Matière à réflexion
La réputation d’une femme-chef est-elle uniquement la conséquence de son talent culinaire ?
Source : Femmes-chefs - Elles tiennent le haut du fourneau ! Magasine ELLE Québec (mars 2011 no 258).
À lire attentivement [1]
Manuel de gestion-réflexion / Christian Latour
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Notes
[1] L’attention est déterminante dans la façon dont nous exécutons n’importe quelle tâche.