brightness_4
 

Confessions de chefs : les demandes farfelues

 
14 juin 2017 | Par Catherine Maisonneuve

Le client a-t-il toujours raison ? La question mérite qu’on s’y attarde lorsqu’on pense à toutes les commandes farfelues que reçoivent constamment les chefs en cuisine. J’ai demandé à plusieurs chefs reconnus de Montréal et de Québec de me partager les demandes spéciales les plus étranges qu’ils ont reçues.. et voici le résultat !

« Une cliente a déjà demandé d’avoir son tartare de bœuf bien cuit... je ne savais pas trop quoi faire, je lui ai donc servi un hamburger et elle était bien contente ! »

- Stefan Gadit, chef au Être avec Toi (ÊAT)

mail

Abonnez-vous à nos infolettres

Chaque semaine, recevez nos dernières nouvelles dans votre boîte courriel.

« J’en ai plusieurs ! On m’a déjà commandé un wok de crevette sans crevette, une soupe tonkinoise sans nouille... Aussi, on m’a déjà retourné une salade de papayes épicées, croyant que c’était un dessert... »

- Ross Louangsignotha, chef au

« On m’a déjà commandé une salade niçoise sans salade.... on m’a retourné en cuisine un steak tartare, car il n’était pas assez cuit, mais ma meilleure anecdote à vie restera toujours cette cliente qui a retourné son loup de mer, car elle s’attendait à recevoir un loup des prairies... »

- Yvon Creton, chef propriétaire du Gladstone

« J’en ai plein ! Mais ma meilleure anecdote en cuisine est arrivée lorsque je travaillais au Saint-Amour. Paul McCartney venait tout juste de faire son passage à Québec et les végétariens et curieux de ce monde voulaient venir essayer LE Menu de Sir Paul 100 % végétarien. Alors que des clients étaient rendus au 4e des 7 services offerts, ils ont demandé de faire ajouter une escalope de foie gras poêlée sur le prochain service.... c’est par la suite devenu un classique. On a commencé à vanter la créativité de nos plats végétariens agrémentés de foie gras... ! »

- Sébastien Laframboise, chef au District Saint-Joseph

« J’ai déjà eu une cliente qui disait vouloir absolument des légumes frais. Elle a retourné deux fois son assiette parce qu’elle se plaignait qu’on utilisait des légumes congelés (ce n’est pas vrai !). Alors moi, j’ai envoyé à la table une assiette contenant un brocoli, un oignon et une carotte entière crus, tels quels. Elle est repartie insultée, mais au moins elle a vu nos légumes frais ! »

- Martin Lampron, chef propriétaire à La Maison de Débauche

 

Mots-clés: Restauration

À lire aussi !

f i i
© VRTKL.media (9405-7759 Québec inc.) 2012-2024 Tous droits réservés.
HRImag est un média francophone (site Web et magazine papier) qui offre de l'information de pointe sur l'industrie des HRI (hôtels, restaurants et institutions).