3 questions à Dave « Struggle » Boudreau du Jack Saloon
Quelques semaines seulement après l’ouverture de la 4e succursale du Jack Saloon, à Ste-Foy, le chef-fondateur Dave « Struggle » Boudreau se confie sur la recette du succès de sa chaîne de restaurants et sur l’avenir de la restauration au Québec. Entretien avec un passionné de cuisine éclatée.
Pourquoi avez-vous décidé d’ouvrir une deuxième succursale à Québec, plutôt que dans une autre ville ?
C’est souvent une question de timing. On a eu l’opportunité de ce local-là et on avait entendu parler qu’ils voulaient développer le quartier et en faire un mini power center. Alors on a sauté sur l’opportunité. On est toujours à l’affût de locaux à la grandeur du Québec et même aux États-Unis. D’ailleurs, on s’enligne pour Laval très bientôt et St-George de Beauce à l’automne.
Est-ce plus difficile de satisfaire la clientèle avec la vague foodie ?
Le client est de plus en plus conscientisé, alors on ne peut pas lui passer une petite vite. C’est donc notre travail de faire nos recherches et d’offrir des saveurs et une ambiance ultra le fun pour les satisfaire.
Quelle est la recette du succès du Jack Saloon ?
Au Jack Saloon, le client est pris en charge de A à Z. Il vient prendre un verre avec les chansonniers, il s’assoit et mange à sa faim et ensuite, il peut faire la fête et danser avec les DJs. L’avenir de la restauration, c’est de faire vivre une expérience complète aux clients, selon moi.
Crédits photo : Photo en tête d’article : Franca Perrotto. Photo de la salle à manger : Tire-Fort