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LE COMMERCE DE L’ALIMENTATION ET DE LA RESTAURATION ALIMENTAIRE

129 citations de l’entrepreneur François Lambert avec comme sujet l’entrepreneuriat

 
4 septembre 2021 | Par Christian Latour | Chasseur de connaissances | Mérici Collégial Privé

LES CITATIONS DE FRANÇOIS LAMBERT

« Si la plupart des gens veulent du changement, ils le craignent en même temps : ils ont peur du changement à parcourir pour arriver à destination. » — François Lambert (2017, p. 12)

« Un entrepreneur, c’est un état d’esprit. Un entrepreneur n’est pas seulement quelqu’un qui gère une entreprise ; c’est aussi et surtout une personne qui a constamment besoin de changer les choses et de les refaire d’une autre façon. » — François Lambert (2017, p. 15)

« L’entrepreneur doit vivre dans un monde de concurrence, se dépasser, se réinventer chaque jour pour ne pas laisser une autre entreprise faire mieux que lui et lui prendre sa place. » — François Lambert (2017, p. 16)

« Lorsque vous lancez une entreprise, vous devez absolument vous démarquer. C’est la première condition de la réussite. » — François Lambert (2017, p. 19)

« Dans une entreprise on doit toujours agir en fonction de la concurrence. » — François Lambert (2017, p. 23)

« Une entreprise qui ne fait pas de profits est une entreprise qui ne progresse pas. » — François Lambert (2017, p. 24)

« L’entrepreneur doit veiller à ce que son affaire soit prospère pour pouvoirs en retirer un revenu, assurer un profit aux actionnaires s’il en a et protéger les emplois des gens qui travaillent pour lui. S’il ne le fait pas, tout le monde va en souffrir. » — François Lambert (2017, p. 24)

« Pour moi un employé est un générateur de revenus et il faut que chaque membre de mon personnel le soit. » — François Lambert (2017, p. 29)

« Chaque employé de l’entreprise sert à générer des revenus à sa façon. » — François Lambert (2017, p. 30)

« L’employé quel que soit son rôle, doit être un ambassadeur de l’entreprise ; il doit être fier de travailler pour elle. C’est à nous, entrepreneurs, de faire en sorte qu’il le soit, de lui offrir les outils pour cela. Le principal outil, c’est bien entendu l’argent. On doit donc lui donner un salaire concurrentiel. » — François Lambert (2017, p. 30)

« En fait dans la vie de tous les jours, l’employé veut deux choses (outre le salaire qui a été établi dès le départ et qu’il a accepté) : la reconnaissance et la liberté. » — François Lambert (2017, p. 30)

« Les employés ne travaillent pas seulement pour toucher un salaire, je le répète. Ils sont des ambassadeurs de la compagnie. Lorsqu’ils arrivent chez eux, ils doivent pouvoir dire à leur conjoint : “aujourd’hui, j’ai eu du fun.” » — François Lambert (2017, p. 31)

« Même si l’employé ne lui parle pas, le client est influencé par son comportement. » — François Lambert (2017, p. 33)

« On dit souvent que le client a toujours raison et doit toujours être content. Mais il s’agit là de la finalité. Si on veut que les clients soient contents, on doit faire en sorte que les employés le soient. C’est un effet boule de neige. » — François Lambert (2017, p. 33)

« Travaillez pour vos employés, rendez-les heureux, reconnaissez leurs bons coups, faites-leur sentir qu’ils contribuent au succès de l’entreprise. Ils ne sont pas une dépense. Ils vont se battre corps et âme pour votre compagnie. Ils sont des générateurs de revenus, quoi qu’ils fassent au sein de l’entreprise. Si ce n’est pas le cas pour l’un d’entre eux., alors vous n’avez aucune raison de le garder. Congédiez-le tout de suite. Il n’a rien à faire dans votre entreprise. » — François Lambert (2017, p. 33-34)

« Le client veut d’abord un bon produit, un bon service, ensuite un bon prix. » — François Lambert (2017, p. 34)

« On n’a pas le droit de laisser tomber un client. On est là pour lui donner un bon service. C’est ce qu’il attend et il doit l’avoir. Il doit repartir content. » — François Lambert (2017, p. 35)

« Il est important de bien connaître nos concurrents, de savoir combien ils facturent. » — François Lambert (2017, p. 37)

« On doit sans cesse se comparer à nos concurrents et essayer de faire mieux. La satisfaction du client est notre baromètre. » — François Lambert (2017, p. 37)

« Il faut s’arrêter à un moment donné et se demander si ce qu’on fait est toujours nécessaire. » — François Lambert (2017, p. 39)

« Il faut prendre son temps pour embaucher un employé, s’assurer qu’il s’agit de la bonne personne, qu’il va être un bon ambassadeur pour notre compagnie. Mais il faut être capable de le congédier rapidement le jour où on se rend compte qu’il n’est plus efficace, quelle qu’en soit la raison. » — François Lambert (2017, p. 42)

« Rien n’est statique dans le monde. Ce qu’on doit faire aujourd’hui n’est pas la même chose que ce qu’on devra faire dans quelques mois ou quelques années. Il faut sans cesse revoir nos procédés, d’adapter et changer. » — François Lambert (2017, p. 43)

« Il vient inévitablement un moment où on doit réorganiser l’entreprise, quand on veut la rendre plus performante, la porter à un d’autres niveaux. » — François Lambert (2017, p. 43)

« Dans toutes les entreprises que j’ai eues, tous les quatre-vingt-dix jours, nous revoyons les processus. Nous nous assoyions et nous posions ce genre de question : est-ce que ce rapport-là est encore nécessaire ? Est-ce que la façon dont on fait ceci ou cela est encore efficace ? » — François Lambert (2017, p. 43)

« Il faut gérer serré, faire attention à nos dépenses et revoir constamment nos façons de faire. » — François Lambert (2017, p. 45)

« Quand on donne l’heure juste, les employés sont derrière nous. Dans le cas contraire, ils passent les trois quarts de leur temps dans l’entreprise à chialer. » — François Lambert (2017, p. 45)

« Le mémérage se produit lorsque les gens ne comprennent pas ce qui se passe, que les choses ne sont pas claires, autrement dit lorsqu’ils ont affaire à un mauvais gestionnaire qui ne sait pas communiquer. » — François Lambert (2017, p. 46)

« Une entreprise n’est pas un boy‘s club. Chaque employé a son rôle et doit savoir qu’il doit performer. » — François Lambert (2017, p. 46)

« Un entrepreneur doit s’entourer de passionnés, chacun à leur niveau. » — François Lambert (2017, p. 49)

« Si on fait son marketing comme il faut, il permet de générer des revenus. Pour cela, il est important de connaître son coût d’acquisition client. Quand je parle de ce dernier à des entrepreneurs, je suis surpris de constater que peu d’entre eux l’ont déjà évaluée. » — François Lambert (2017, p. 57)

« Il faut veiller à consacrer assez d’argent au marketing, mais le plus gros danger, pour une entreprise, est d’en mettre trop. » — François Lambert (2017, p. 57)

« Le coût d’acquisition client est le montant dépensé dans le but d’acquérir un nouveau client. C’est une chose que les entreprises doivent apprendre à maîtriser le plus rapidement possible. Autrement dit, combien de dollars rapporte un dollar consacré au marketing ? Et comment cela progresse-t-il ? » — François Lambert (2017, p. 57-58)

« En marketing, il faut sans cesse s’adapter. C’est pourquoi il vaut mieux y aller progressivement et faire plusieurs essais. Pour chaque option on doit se demander : “Si je fais le marketing de cette façon, combien ça va me rapporter.” » — François Lambert (2017, p. 58-59)

« Ça ne marche pas du premier coup parce qu’on considère en marketing qu’on doit voir ou entendre une information sept fois en moyenne avant qu’elle n’entre dans notre tête. » — François Lambert (2017, p. 59)

« Ne l’oubliez pas : le marketing bien fait n’est pas une dépense ; c’est un investissement. On ne parle pas d’un dollar dépensé en marketing ; on parle d’un dollar investi. Ça fait une grosse différence ! » — François Lambert (2017, p. 59)

« Lorsqu’on lance une entreprise, autant viser le monde entier. C’est le même travail. Qu’on ait trois employés ou cinq mille, je le sais par expérience, on accomplit les mêmes tâches. » — François Lambert (2017, p. 63)

« Il faut faire beaucoup de réseautage et fréquemment parce qu’on ne sait jamais à quel moment on va tomber sur le bon contact. » — François Lambert (2017, p. 68)

« On dit souvent qu’un entrepreneur aime prendre des risques. C’est faux. On ne prend pas de risque quand on est entrepreneur : on fait juste des choix. » — François Lambert (2017, p. 75)

« Lorsqu’un entrepreneur prend la décision de lancer une entreprise, il se projette dans le temps. » — François Lambert (2017, p. 77)

« Évaluez-vous et repositionnez-vous sans cesse. » — François Lambert (2017, p. 79)

« L’entrepreneur doit continuellement gérer son risque, le réévaluer, car il change tout le temps. Si des concurrents se pointent, il faut se repositionner. » — François Lambert (2017, p. 79)

« Si vous considérez que vous prenez des risques, dites-vous que vous êtes un joueur, et non un entrepreneur ! » — François Lambert (2017, p. 81)

« En tant qu’entrepreneur, on doit être réaliste. Parfois, la réalité fait mal. On n’a pas trop envie de la voir. Pourtant, lorsqu’on a un problème, il ne sert à rien d’être positif en se répétant que non, on n’en a pas ou que tout va bien aller. Il vaut mieux regarder le problème en face et préparer un plan d’action. » — François Lambert (2017, p. 84)

« Il faut faire attention à ce qu’on montre et dégage. » — François Lambert (2017, p. 85)

« Regardez bien votre problème en face, attaquez-le. S’il ne résulte pas d’une situation incontrôlable, il est la preuve que vous avez fait une erreur quelque part. Vous devez par conséquent en trouver la source. C’est uniquement de cette façon que vous avec des chances de le régler. » — François Lambert (2017, p. 86)

« Une des choses les moins importantes, lorsqu’on veut ouvrir une entreprise, c’est bien l’argent. Il nous faut, d’abord et avant tout, une bonne idée, puis un plan d’action et des clients potentiels. L’argent vient après. Contrairement à ce qu’on a tendance à croire, ce n’est pas le critère numéro un. » — François Lambert (2017, p. 87)

« La différence entre un entrepreneur qui a du succès et un autre qui n’en a pas, ce n’est pas l’argent, c’est la créativité. On doit se différencier. » — François Lambert (2017, p. 87)

« Ma recette, pour réussir en affaire, consiste à faire en sorte que chaque dépense soit le plus rapprochée possible du revenu » » — François Lambert (2017, p. 87)

« Les entreprises ferment souvent à cause du manque de liquidités, car les gens ont tendance à faire des dépenses sans voir que les revenus les compensant risquent d’arriver dans trop longtemps. » — François Lambert (2017, p. 90)

« Techniquement, on ne doit faire aucune dépense qui n’entraîne pas un revenu, et ce, le plus rapidement possible. » — François Lambert (2017, p. 90)

« Ce n’est pas l’argent qui va nous permettre de gagner contre un concurrent, mais l’imagination et la créativité. » — François Lambert (2017, p. 91)

« Personnellement, je me dis que je suis le meilleur quand je me suis préparé, quand je suis créatif et imaginatif. » — François Lambert (2017, p. 93)

« Quand on demande un prêt, il y a une chose qui est totalement prévisible : on doit le rembourser à la fin de chaque mois. » — François Lambert (2017, p. 95)

« Pour tout dire, contracter un emprunt est la pire option quand on veut créer une entreprise. » — François Lambert (2017, p. 96)

« Une autre façon de financer une nouvelle entreprise est de convaincre des gens d’acheter des parts. On n’a pas toujours envie, lorsqu’on commence, de céder des actions aux autres, mais c’est le prix à payer si on a besoin d’argent pour pouvoir avancer. » — François Lambert (2017, p. 98)

« Pour résumer, soit on vend des parts à une ou plusieurs personnes qui croient en notre projet ; soit on fait affaire avec un prêteur spécialisé ; soit on reconnaît qu’on n’a pas encore assez d’argent pour lancer une entreprise. » — François Lambert (2017, p. 99)

« La bourse est l’objectif suprême de l’entreprise, le bout de la chaîne des étapes de financement. » — François Lambert (2017, p. 104)

« Un bon entrepreneur doit connaître ses forces et ses faiblesses, et s’entourer de personnes qui peuvent compenser ces faiblesses. » — François Lambert (2017, p. 115)

« Pour aller plus haut, je dois m’entourer de professionnels qui ont des connaissances que je n’ai pas, ou du moins que je ne maîtrise pas suffisamment pour les besoins de l’entreprise. » — François Lambert (2017, p. 116)

« Lorsqu’on ouvre une entreprise avec un partenaire, celui-ci doit être complémentaire on ne s’additionne pas ; on se multiplie. » — François Lambert (2017, p. 116)

« Si notre partenaire a les mêmes forces que nous, on s’additionne. [...] Si par contre, notre partenaire est complémentaire, il comble nos faiblesses. L’un excelle en vente ; l’autre en comptabilité. Là on se multiplie. Nos forces conjuguées nous permettent d’aller plus loin. » — François Lambert (2017, p. 116)

« C’est de cette façon, en trouvant des gens qui comblent nos imperfections, qu’on devient un grand entrepreneur. Seule la complémentarité peut nous permettre d’être “parfait”. » — François Lambert (2017, p. 117)

« Il faut du temps pour que les gens connaissent notre produit. Cela peut prendre deux ans, trois ans, parfois plus. » — François Lambert (2017, p. 121)

« Une entreprise ne devient telle que lorsqu’on est capable d’en vivre. Avant cela, à mes yeux, cela reste une projet. Un projet qui peut durer très longtemps. » — François Lambert (2017, p. 124)

« Deux bon partenaires se multiplient au lieu de s’additionner. » — François Lambert (2017, p. 129)

« Lorsqu’on a un bon partenaire, c’est pour le meilleur et pour le pire. On a moins de liberté, davantage de contraintes, une pression de rendement cent fois plus forte, mais c’est pour cela qu’on va plus vite ! Les chances d’atteindre la liberté financière sont de beaucoup supérieures. » — François Lambert (2017, p. 133)

« L’entrepreneur a deux principales missions : protéger l’entreprise, et par voie de conséquence les employés, et assurer un rendement au actionnaires. » — François Lambert (2017, p. 137)

« Pour survivre, une entreprise doit accepter le changement constamment s’adapter à son environnement. » — François Lambert (2017, p. 138)

« Le chef d’orchestre n’est rien sans les musiciens. » — François Lambert (2017, p. 138)

« On a peur du changement lorsqu’il nous est imposé et qu’on ne connaît pas le chemin qu’on doit prendre. Mais quand on comprend la nécessité de changer, on agit en conséquence. » — François Lambert (2017, p. 139)

« Si je fais comme tout le monde, je ne suis pas près d’augmenter mes parts de marché. Je dois donc offrir un meilleur service, être différent, plus agressif. Il faut que j’aille voir ce que mes concurrents font de bien, ce qu’ils font de mal., puis que j’attaque en conséquence. Je dois sortir du lot, déranger les gens. » — François Lambert (2017, p. 141)

« Ne pas se conformer est une des choses les plus difficiles à faire en entrepreneuriat — et sûrement dans la vie en général. » — François Lambert (2017, p. 142)

 » Il n’y a pas de recette. Chaque entrepreneur doit trouver la sienne en apprenant de ses succès et de ses erreurs. » — François Lambert (2017, p. 143)

« En affaires comme ailleurs, on doit faire preuve d’humilité. On ne se décerne pas un titre ; on le gagne. Il est important de se montrer confiant devant un client, mais pas prétentieux. » — François Lambert (2017, p. 156)

« N’allez pas crier sur tous les toits que vous êtes le meilleur. Agissez en conséquence. Prouvez-le. C’est le client qui peut déterminer si vous êtes le meilleur et le dire à tout le monde. Pas vous. » — François Lambert (2017, p. 156-157)

« Le seul moyen, en entrepreneuriat, de grandir et de s’assurer une retraite consiste à trouver une façon de se multiplier. Pour cela, on doit lancer le bon produit et faire travailler d’autres personnes. » — François Lambert (2017, p. 159)

« Il ne faut pas vouloir être indispensable, mais plutôt faire en sorte que tout roule sans nous. » — François Lambert (2017, p. 160)

« Parce que j’ai réussi à mettre les bonnes personnes à ma place, je peux me multiplier et aller ouvrir une autre entreprise. » — François Lambert (2017, p. 160)

« Si vous voulez avancer et prendre de l’expansion en tant qu’entrepreneur, il n’y a qu’une solution : trouver quelque chose qui ne dépend pas uniquement de vous et facturez même quand vous n’êtes pas là. » — François Lambert (2017, p. 160-161)

« C’est le client satisfait qui, par ses achats, crée des emplois dans notre entreprise. » — François Lambert (2017, p. 163)

« On doit respecter les gens qui achètent notre produit. » — François Lambert (2017, p. 163)

« On doit donc veiller à ce que nos clients soient bien servis par nos employés. Pour cela, ceux-ci doivent être heureux, car s’ils le sont, les clients vont l’être également. » — François Lambert (2017, p. 164)

« On ne crée pas d’emplois parce qu’il y a une demande ; c’est la demande qui le fait. Nous, on doit simplement s’assurer de mettre un ambassadeur à chaque poste. » — François Lambert (2017, p. 165)

« C’est sur cela que l’entrepreneur doit se concentrer : construire un écosystème favorable en proposant un bon produit et en embauchant des employés capables d’être des ambassadeurs. Le reste appartient aux clients et aux employés. L’entrepreneur n’a rien d’autre à faire que de conduire ces deux groupes dans la bonne direction. » — François Lambert (2017, p. 165)

« On doit choisir la personne la plus compétente possible, même si elle coûte cher. » — François Lambert (2017, p. 165)

« L’argent doit être investi en premier lieu dans les employés. Il faut trouver les bonnes personnes et les payer correctement, même si c’est à notre détriment au départ, car ce sont elles qui vont nous permettre de recevoir un jour de bons dividendes ou de vendre notre entreprise à un bon prix. » — François Lambert (2017, p. 169)

« C’est donc le principe à retenir : nos employés gagnent régulièrement pour ne pas dire presque toujours, plus que nous, maison doit mettre notre égo de côté et penser à la récompense qu’on trouvera au bout. » — François Lambert (2017, p. 169-170)

« Quand on lance une entreprise, le moindre dollar doit permettre de générer davantage de revenus. Or, des bureaux ne rapportent pas d’argent. Ils procurent simplement plaisir et confort à ceux qui y travaillent. Il est certes plaisant d’occuper un bel espace, mais ce n’est aucunement prioritaire. » — François Lambert (2017, p. 171)

« Je ne veux pas payer pour des bureaux, mais pour la progression de l’entreprise, c’est-à-dire le marketing et le développement de la production. » — François Lambert (2017, p. 172)

« Quand on a une entreprise qui roule bien, on doit être fier de montrer nos bureaux. Il faut que le client se sente bien lorsqu’il vient nous voir ; ainsi, on établit immédiatement un lien de confiance. Si ce n’est pas le cas, il n’a pas envie de revenir. » » — François Lambert (2017, p. 173)

« On doit aménager nos bureaux de façon à ce qu’ils reflètent la nature de notre entreprise, sans en mettre trop ni pas assez. » — François Lambert (2017, p. 173)

« De beaux bureaux m’indiquent, comme investisseur, que l’entrepreneur a mal dépensé l’argent qu’il a eu entre ses mains dans le passé. Déjà, une lumière rouge s’allume dans ma tête. » — François Lambert (2017, p. 173)

« Il ne faut pas oublier qu’à la base, un entrepreneur est un vendeur, car il doit sans cesse parler de son entreprise pour élargir sa clientèle. » » — François Lambert (2017, p. 176)

« Il faut travailler constamment, ne pas lâcher le morceau pour aller chercher de nouveaux clients. C’est une tâche ardue, mais qui doit faire partie du quotidien de l’entrepreneur. » — François Lambert (2017, p. 177)

« On a tout intérêt à suivre sans cesse nos clients potentiels. » — François Lambert (2017, p. 178)

« On n’envoie pas un courriel impersonnel à une personne qu’on souhaite rencontrer. On prend le téléphone. » » — François Lambert (2017, p. 178)

« On ne fait pas un appel à froid pour conclure un marché. Il y a trop d’impondérables. […] Le but du cold call est plutôt d’obtenir un rendez-vous avec le client potentiel le plus vite possible. Quand on y arrive, on va le voir à son bureau. Une fois devant lui, là oui, on peut lui parler plus longuement de ce qu’on fait, mais sans non plus exagérer. » — François Lambert (2017, p. 178)

« Un entrepreneur doit se demander quel problème il veut résoudre, quel besoin in veut combler. S’il trouve la réponse, il lance un nouveau produit ou une nouvelle façon de faire qui le conduit au succès. » — François Lambert (2017, p. 181-182)

« Ce sont les plus forts qui gagnent. Que cela nous plaise ou non, on est dans un monde capitaliste. La concurrence nous force à offrir de meilleurs services, à respecter nos clients, à nous dépasser, et elle nous aide à rester dans le marché. » — François Lambert (2017, p. 184)

« Si je lance une nouvelle boisson gazeuse, mes concurrents ne sont pas seulement les autres marchands de boisson gazeuse. Il y a aussi ceux qui vendent de l’eau ou du jus, bref, tout ce qu’on peut boire pour se désaltérer. […] On ne doit pas regarder la concurrence uniquement dans notre petite niche, mais de façon plus large. Il faut se demander qui est le consommateur et à quel endroit il est prêt à dépenser son argent. » — François Lambert (2017, p. 184)

« Le temps est aussi un concurrent. » — François Lambert (2017, p. 185)

« L’argent dont dispose le consommateur est aussi un autre concurrent. Selon l’argent qu’on a à dépenser, on décide d’aller au parc aquatique, au cinéma ou au restaurant. Pour les vacances, on va faire du camping ou on prend l’avion pour nous rendre dans un autre pays. La concurrence, ici, c’est le budget de la personne. » — François Lambert (2017, p. 186)

« Vous devez respecter votre concurrent et regarder constamment ce qu’il fait. » — François Lambert (2017, p. 186)

« Lorsqu’on ne prend pas le temps de se reposer, on perd peu à peu la créativité et la vivacité d’esprit dont on a besoin pour réussir en affaires. » — François Lambert (2017, p. 189)

« Lorsqu’on veut prendre de l’expansion, on n’a pas d’autres choix que de mettre des gens à notre place. Si on ne le fait pas, c’est qu’on est un autoentrepreneur, ce qui signifie qu’on travaille que pour soi. On ne pourra jamais atteindre la liberté financière de cette façon. » — François Lambert (2017, p. 191)

« Pour moi un bon entrepreneur fait en sorte que l’entreprise puisse rouler lorsqu’il n’est pas là. » — François Lambert (2017, p. 192)

« C’est le défi de la concurrence. Elle nous oblige sans cesse à revoir nos méthodes, à être plus efficaces, donc, à être créatifs. Lorsqu’on sait que l’argent va rentrer d’une manière ou d’un autre, on se force moins. » — François Lambert (2017, p. 196)

« En affaires, c’est le client qui compte. Lui seul décide où il met son argent. » — François Lambert (2017, p. 198)

« J’ai pu constater, tout au long de ma carrière, qu’espérer n’arrange pas les choses. Si on ne prend pas le taureau par les cornes et qu’on n’agit pas, rien ne va se passer. Les mots “espoir” et “entrepreneur” ne vont pas ensemble. » — François Lambert (2017, p. 205)

« Les grands entrepreneurs sont capables de reconnaître leurs erreurs avant qu’elles ne les conduisent à la faillite. Il vaut mieux parfois abandonner un projet et passer à autre chose. » — François Lambert (2017, p. 205)

« Soit on fonce, soit on se retire. L’entre-deux est un échec assuré. » — François Lambert (2017, p. 205)

« Un entrepreneur qui reconnaît son échec est un grand entrepreneur. Il abandonne un projet pour en commencer un nouveau. » — François Lambert (2017, p. 205)

« Si on n’a pas l’humilité de reconnaître qu’on s’est trompé et de rectifier le tir en conséquence, on n’a aucune chance de réussir. » — François Lambert (2017, p. 213)

« On sait où on va, en fait. C’est la façon d’y arriver qu’on ignore. On se retrouve tout le temps devant plein de petites routes, de petits tunnels. On ne sait pas trop lequel prendre. On va un peu à gauche, un peu à droite. Ça ne peut pas être une ligne droite. Si c’était le cas, tout le monde serait là. Il s’agit plutôt d’un labyrinthe. Quand on arrive dans un cul-de-sac, on doit revenir en arrière. » — François Lambert (2017, p. 214)

« On essaie sans cesse de nouvelles choses. On recommence encore et encore. » — François Lambert (2017, p. 214)

« Bâtir un projet à partir de rien est très difficile et demande énormément de courage. On se sent seul au monde. En même temps qu’on met au point un produit, on construit une équipe qu’on ne sait pas non plus comment guider. » — François Lambert (2017, p. 214)

« Sur la route de la réussite, beaucoup de gens nous laissent tomber. Ils ne voient pas la même chose que nous. Ils n’ont pas la même foi en notre projet. Chaque abandon est douloureux, mais on doit s’accrocher, constamment recommencer. » — François Lambert (2017, p. 214)

« Le produit qu’on met sur le marché doit être unique. » — François Lambert (2017, p. 214)

« Depuis que je fais de la télé et des conférences, j’ai une reconnaissance que je n’avais jamais eue avant. » — François Lambert (2017, p. 220)


À LIRE ATTENTIVEMENT [1]


MÉDIAGRAPHIE

Manuel de gestion-réflexion / Christian Latour


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Notes

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