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LE COMMERCE DE L’ALIMENTATION ET DE LA RESTAURATION ALIMENTAIRE

Exercice de révision — Comptabilité de gestion

 
1er novembre 2017 | Par Christian Latour | Chasseur de connaissances | Mérici Collégial Privé


1. Identifiez les 9 composantes du modèle d’affaires des entreprises de restauration alimentaire ?

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2. Identifiez les 9 activités clés des entreprises de restauration alimentaire ?

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3. Identifiez les 10 catégories de ressources que l’on utilise dans les entreprises de restauration alimentaire ?

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4. Vrai ou faux… La gestion stratégique des revenus d’une entreprise de restauration alimentaire et la gestion stratégique de ses coûts ça commence absolument et premièrement par la gestion stratégique de sa carte (et des menus qui en découlent) ?

Réponse :


5. Vrai ou faux… LA COMPTABILITÉ est une composante clé de l’activité finance ?

Réponse :


6. Vrai ou faux… La FINANCE est une activité clé du modèle d’affaires des entreprises de restauration alimentaire ?

Réponse :


7. Vrai ou faux… La fonction FINANCE regroupe l’ensemble des activités visant la recherche, la captation et la gestion des ressources financières d’une entreprise ?

Réponse :


8. Vrai ou faux… L’objectif ultime de l’activité FINANCE est de maximiser la valeur marchande de l’entreprise à long terme. Pour les entreprises inscrites à la bourse, l’objectif est de maximiser la valeur de l’action ?

Réponse :


9. Vrai ou faux… La COMPTABILITÉ constitue le système d’information financière de l’entreprise. Elle vise à fournir de l’information aux preneurs de décisions sur les opérations financières qu’effectue l’entreprise ?

Réponse :


10. Vrai ou faux… La comptabilité est un système d’information qui sert à traduire toutes les opérations d’une entreprise en un langage codifié et compréhensible, permettant à des utilisateurs avertis d’obtenir des informations pertinentes pour la prise de décision ?

Réponse :


11. Vrai ou faux… La comptabilité traduit en chiffres l’utilisation des ressources dans l’entreprise pour créer, délivrer et capturer de la valeur ?

Réponse :


12. Vrai ou faux… La comptabilité est un langage codifié, permettant à des utilisateurs avertis comprenant les codes d’obtenir des informations pertinentes pour la prise de décision ?

Réponse :


13. Vrai ou faux… La comptabilité est essentiellement un processus de transformation des opérations économiques en information financière ?

Réponse :


14. Vrai ou faux… Le processus de transformation des opérations économiques en information financière comporte au moins 3 éléments :

1. un intrant (une donnée entrée) ;

2. le traitement (les procédés et règles à suivre pour transformer cette donnée) ;

3. un extrant (une donnée à la sortie).

Réponse :


15. Vrai ou faux… Le processus de transformation des opérations économiques en information financière vise à saisir, à regrouper, à enregistrer, à mesurer, à classer et à présenter les opérations économiques de l’entreprise afin d’obtenir de l’information utile à la prise de décision et à répondre ainsi aux besoins de différents intervenants (internes et externes) avec lesquels celle-ci fait affaire ?

Réponse :


16. Vrai ou faux… Introduites au Canada en 2011, les normes internationales d’information financière (International Financial Reporting Standards, ou IFRS) constituent le référentiel comparable que doivent appliquer toutes les sociétés ouvertes canadiennes ?

Réponse :


17. Vrai ou faux… La comptabilité de gestion aussi appelée comptabilité de management a pour mission de fournir de l’information de gestion aux dirigeants dans le but d’éclairer leurs décisions, quel que soit leur poste au sein de l’organisation ?

Réponse :


18. Vrai ou faux… Le but essentiel de la comptabilité de management, également appelée comptabilité de gestion, comptabilité administrative, comptabilité analytique ou comptabilité interne, est de fournir de l’information de gestion aux gestionnaires, c’est-à-dire des données qui éclaireront leurs décisions, quel que soit leur poste dans l’organisation. À ce titre, elle fait partie intégrante du système d’information indispensable à la gestion de l’entreprise ?

Réponse :


19. Vrai ou faux… La comptabilité de management ou de gestion est un système d’information de gestion fondé en partie sur les données financières ?

Réponse :


20. Vrai ou faux… Le bénéfice (profit) réalisé par une entreprise de restauration alimentaire est toujours, en fin de compte, la conséquence de l’efficacité et de la pertinence de son modèle d’affaires et de sa mise en œuvre ?

Réponse :


21. Vrai ou faux… Le modèle d’affaires d’une entreprise de restauration alimentaire comprend toujours un modèle de revenus et un modèle de coût ?

Réponse :


22. Vrai ou faux… Le REVENU total est le premier résultat financier qui découle du modèle d’affaires et qui impacte directement sur les bénéfices des entreprises de restauration alimentaire ?

Réponse :


23. Identifiez les 3 constituantes de base à partir desquelles on construit le modèle de revenus des entreprises de restauration alimentaire ?

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24. Vrai ou faux… Il y a 3 leviers pour pousser vers le haut les revenus des entreprises de restauration alimentaire ?

Réponse :


25. Identifiez les 3 leviers que l’on doit utiliser pour augmenter les revenus des entreprises de restauration alimentaire ?

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26. Vrai ou faux… Le COÛT total est le deuxième résultat financier qui découle du modèle d’affaires et qui impacte directement sur le bénéfice des entreprises de restauration. Ce deuxième résultat est obtenu en additionnant le coût des 10 catégories de ressources utilisées dans les entreprises de restauration alimentaire ?

Réponse :


27. Identifiez les 10 constituantes de base à partir desquels on construit le modèle de coûts des entreprises de restauration alimentaire ?

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28. Vrai ou faux… Malheureusement, le coût total des ressources utilisées par les entreprises de restauration alimentaire incorpore souvent dans chacune de ses composantes (les 10 catégories de ressources), des coûts d’inefficience ?

Réponse :


29. Vrai ou faux… Les coûts d’inefficience sont des coûts supplémentaires encourus lorsque des ressources non nécessaires ou improductives sont utilisées pour faire ce qu’il y a à faire ?

Réponse :


30. Vrai ou faux… La stratégie explicite formulée par les dirigeants d’une entreprise de restauration alimentaire est l’ensemble des actions structurées que l’entreprise va planifier et mettre en œuvre pour arriver à ses fins, c.-à-d. satisfaire totalement ses clients cibles tout en gagnant plus d’argent qu’elle n’en dépense ?

Réponse :


31. Vrai ou faux… La formule mathématique de base pour calculer le revenu total des entreprises de restauration alimentaire est : D = A x (Um/A x PmD) ?

Réponse :

32. Définir D ?

Réponse :


33. Définir A ?

Réponse :


34. Définir Um/A ?

Réponse :


35. Définir PmD ?

Réponse :


36. Vrai ou faux… Par définition l’achalandage (A) d’une entreprise de restauration alimentaire correspond au nombre de clients servis par l’entreprise durant une période donnée (une heure, un jour, une semaine, un mois, un trimestre, un semestre, une année, et, etc.) ?

Réponse :


37. Vrai ou faux… L’achalandage est une composante importante du modèle de revenu des entreprises de restauration alimentaire ?

Réponse :


38. Vrai ou faux… Le revenu total est le premier résultat financier qui découle du modèle d’affaires d’une entreprise de restauration alimentaire et qui impacte directement sur son bénéfice et ce premier résultat est obtenu en multipliant la demande moyenne par acheteur (Dm/A) par l’achalandage (A) ?

Réponse :


39. Vrai ou faux… Le système de facturation et d’encaissement d’une entreprise de restauration (par exemple le système maître D développé par l’entreprise POSERA SOFTWARE INC.) contient premièrement la carte nourriture et boisson de l’entreprise (le mix de produit et de prix de l’entreprise) et deuxièmement un système comptable intégré d’enregistrement des revenus ?

Réponse :


40. Vrai ou faux… Les outils suivants sont des outils de gestion très importants pour les gestionnaires d’entreprise de restauration :

Le bilan (l’état de la situation financière) historique et prévisionnel

L’état des résultats (l’état du résultat net et des autres éléments du résultat global) historique et prévisionnel

L’état des bénéfices non répartis historique et prévisionnel

L’état des mouvements de trésorerie (le tableau des flux de trésorerie) historique et prévisionnel

État des variations des capitaux propres historique et prévisionnel

La liste des comptes clients

La liste des comptes fournisseurs

La liste des ressources alimentaires nourritures (AS)

La liste des ressources alimentaires boissons (AS)

La liste des inventaires de ressources matérielles

Réponse :


41. Vrai ou faux… Le cycle comptable complet d’une entreprise de restauration est un processus qui comprend principalement 4 étapes ?

Réponse :


42. Identifiez les 4 étapes du cycle comptable complet d’une entreprise de restauration ?

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43. Vrai ou faux il y a 6 catégories de régularisation ?

Réponse :


44. Identifiez les 6 catégories de régularisation que l’on observe généralement dans les entreprises de restauration ?

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Réponse :


45. Vrai ou faux… Le chiffrier est une feuille de travail constituée de différentes sections où figurent respectivement la balance de vérification initiale, les régularisations, la balance de vérification après régularisation, les écritures de fermetures et la balance de vérification après fermeture. Dans les deux dernières sections, on retrouve en fait les éléments qui feront respectivement partie de l’état des résultats, de l’état des capitaux et du bilan ?

Réponse :


46. Vrai ou faux… Les écritures de fermeture ont comme objectif de fermer, de solder à zéro, les comptes de revenus et dépenses d’une entreprise à la fin de chaque exercice financier ?

Réponse :


47. Vrai ou faux… Le chiffrier est un extraordinaire outil de gestion interne qui sert à de multiples usages ?

Réponse :


48. Vrai ou faux… En plus de fermer les comptes de revenus et de dépenses, les écritures de fermeture permettent de transférer l’excédent des revenus et des dépenses au compte de capital ?

Réponse :


49. Vrai ou faux… La balance de vérification après fermeture des comptes de revenus et de dépenses ne contient que des comptes de Bilan (actifs, passifs et capitaux propres à la fin de l’exercice) ?

Réponse :


50. Vrai ou faux… Le chiffrier est un outil de travail qui est réservé à l’usage interne. Il n’est pas diffusé et ne présente aucun intérêt pour les utilisateurs externes ?

Réponse :


51. Vrai ou faux… Le chiffrier est une feuille de travail (une feuille de calcul) qui permet d’accumuler de façon ordonnée tous les renseignements, dont le gestionnaire (ou son comptable) à besoin, pour régulariser les comptes, fermer les comptes de résultat et préparer les états financiers ?

Réponse :


52. Vrai ou faux… L’offre nourriture (il s’agit donc du mix de produit et du mix de prix) est premièrement et nécessairement la première cause qui impacte sur les résultats financiers d’un restaurant ?

Réponse :


53. Vrai ou faux… Le chiffrier aide les gestionnaires à déterminer le bénéfice net de l’exercice et à en vérifier l’exactitude arithmétique. Il simplifie la préparation des écritures de fermeture. Il permet de DÉTECTER les irrégularités, les erreurs, les oublies ?

Réponse :


54. Vrai ou faux… Le chiffrier permet L’ANALYSE DES ÉTATS FINANCIERS ?

Réponse :


55. Vrai ou faux… Les écritures de régularisation sont effectuées en fin d’exercice ?

Réponse :


56. Vrai ou faux… Il n’est pas obligatoire de faire des écritures de clôture ?

Réponse :


57. Vrai ou faux… Les capitaux propres sont remis à zéro à chaque début d’année ?

Réponse :


58. Vrai ou faux… Généralement, les meilleurs restaurateurs utilisent 3 méthodes différentes pour analyser les états financiers ?

Réponse :


59. Identifiez les 3 méthodes généralement utilisées par les restaurateurs pour analyser les états financiers de leur entreprise ?

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Réponse :


60. Expliquez en vos propres mots la différence entre un coût et un prix ?

Réponse :


61. Expliquez en vos propres mots la différence entre un revenu et une dépense ?

Réponse :


62. Expliquez en vos propres mots la différence entre vente et revenu ?

Réponse :


63. Vrai ou faux… Le la liste des ressources alimentaires accréditées et standardisées est un outil de gestion qui relève de la comptabilité de gestion ?

Réponse :


64. Vrai ou faux le livre de recettes (numérisé) d’une entreprise de restauration est un outil de gestion qui relève de la comptabilité de gestion ?

Réponse :


65. Vrai ou faux… Les entrées et les sorties de trésorerie, appelée également « flux de trésorerie », sont un indice précieux de la viabilité d’une entreprise ?

Réponse :


66. Vrai ou faux… L’état financier qui détaille les entrées et les sorties de trésorerie et les équivalents de trésorerie au cours de la période s’appelle le « tableau des flux de trésorerie » ?

Réponse :


67. Identifiez les 3 rubriques qui permettent d’identifier les divers types de flux de trésorerie que l’on retrouve dans le tableau des flux de trésorerie ?

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68. Vrai ou faux… Les flux de trésorerie correspondent aux entrées (encaissement) et aux sorties (décaissements) de trésorerie ?

Réponse :


69. Vrai ou faux… Peu importe la nature économique de l’opération, le décaissement constitue toujours une sortie de fonds qui fait diminuer la trésorerie ?

Réponse :


70. Vrai ou faux… Peu importe la nature économique de l’opération, l’encaissement constitue toujours une entrée de fonds qui fait augmenter la trésorerie ?

Réponse :


71. Vrai ou faux… L’objectif du tableau des flux de trésorerie est de renseigner le lecteur sur les variations de la trésorerie et des équivalents de trésorerie ou, autrement dit, sur la façon dont les flux de trésorerie ont été générés ou utilisés au cours de la période ?

Réponse :


72. Vrai ou faux… Le calcul des flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles fait appel et à l’actif et au passif courants de l’état de la situation financière ?

Réponse :


73. Vrai ou faux… Les activités d’investissement relèvent de l’acquisition de la cession d’actifs non courants, ainsi que des placements ne faisant pas partie des équivalents de trésorerie ?

Réponse :


74. Vrai ou faux… Le tableau des flux de trésorerie sert à montrer l’effet des activités de l’entreprise sur sa trésorerie ?

Réponse :


75. Vrai ou faux… La trésorerie et les équivalents de trésorerie comprennent les espèces et les quasi-espèces, c’est-à-dire les actifs dont l’entreprise peut disposer facilement. Ces espèces et quasi-espèces se composent notamment des fonds en caisse, des dépôts à vue et des placements à court terme facilement monnayables et soumis au risque négligeable de changement de valeur, comme les dépôts à terme (lorsque ceux-ci peuvent être retirés en tout temps sans pénalité) ?

Réponse :


76. Vrai ou faux… Les éléments qui composent la trésorerie et les équivalents de trésorerie varient d’une entreprise à l’autre, selon la nature de l’actif et de l’activité. Il revient à la direction de l’entreprise de déterminer, dans certaines circonstances, les actifs possédants les caractéristiques requises pour être considérés comme de la trésorerie ou des équivalents de trésorerie ?

Réponse :


77. Vrai ou faux… Le tableau des flux de trésorerie nous permet de juger de la provenance et de l’utilisation des flux de trésorerie pour une période donnée. Cet état financier s’avère précieux pour les investisseurs et les créanciers puisqu’il permet de porter un jugement sur la santé financière de l’entreprise du point de vue de sa trésorerie  ?

Réponse :


78. Vrai ou faux… Une entreprise peut présenter un résultat net positif (bénéfice), tout en connaissant des problèmes de liquidités ?

Réponse :


79. Vrai ou faux… Les renseignements figurant dans la rubrique « activités opérationnelles » visent à aider les utilisateurs à évaluer dans quelle mesure l’entreprise peut générer de la trésorerie à partir de ses opérations, et donc financer ses activités — qu’elles soient relatives aux opérations ou aux investissements — sans recourir à des sources de financement externes ?

Réponse :


80. Vrai ou faux… Les éléments du fonds de roulement hors trésorerie liés aux activités opérationnelles sont constitués de tous les postes de l’actif et du passif liés à l’exploitation autres que la trésorerie ou les équivalents de trésorerie (cela exclut, les postes reliés au financement ainsi que les postes reliés aux investissements) ?

Réponse :


81. Vrai ou faux… Les actifs sont des ressources dont l’entreprise pourra bénéficier à l’avenir ?

Réponse :


82. Vrai ou faux… La gestion de la trésorerie est un aspect crucial du travail d’un gestionnaire ?

Réponse :


83. Vrai ou faux… La trésorerie — ou dans des termes plus familiers, l’argent (c.-à-d. la ressource financière) — étant indispensable au fonctionnement quotidien d’une entreprise, il importe que les gestionnaires y accordent une attention particulière et implantent des outils de planification et de vérification des mouvements de trésorerie ?

Réponse :


84. Vrai ou faux… Les résultats non distribués (les BNR) sont constitués des profits accumulés depuis la création de l’entreprise, desquels ont été soustraits les dividendes et autres formes de remise aux propriétaires et/ou aux actionnaires ?

Réponse :


85. Vrai ou faux… Le solde des résultats non distribués (BNR) représente les résultats que les dirigeants d’une entreprise ont décidé de ne pas distribuer aux actionnaires (ce qui aurait eu comme effet de générer une sortie de trésorerie) ?

Réponse :


86. Vrai ou faux… Il a été largement démontré, notamment à la suite de récession économique, que le manque de liquidités est un indicateur de risque de faillite d’une entreprise ?

Réponse :


87. Vrai ou faux… Le rythme auquel une entreprise produit des liquidités à partir de ses activités courantes est un indice de sa capacité financière actuelle et de ses besoins de financement futurs ?

Réponse :


88. Vrai ou faux… Le tableau des flux de trésorerie est un outil important de l’analyse financière parce qu’il fait apparaître la variation de la trésorerie durant une période donnée tout en permettant d’expliquer les causes ?

Réponse :


89. Vrai ou faux… L’objectif premier du tableau des flux de trésorerie est d’expliquer la variation de la trésorerie durant une période donnée  ?

Réponse :


90. Vrai ou faux… L’analyse verticale consiste à exprimer les postes figurant dans les états financiers sous forme de pourcentage : pourcentage de l’actif total pour les éléments de l’état de la situation financière (le Bilan) et pourcentage du chiffre d’affaires (ventes totales) pour ceux de l’état des résultats (état du résultat net) ?

Réponse :


91. Vrai ou faux… L’analyse horizontale, également appelée « analyse des tendances », permet d’observer l’évolution en pourcentage d’un même élément sur plusieurs périodes ?

Réponse :


92. Vrai ou faux… Couramment utilisées lors de la préparation des rapports financiers destinés aux gestionnaires (à l’interne), ces techniques d’analyse (horizontale et verticale), très facile à appliquer, permettent aussi aux utilisateurs externes d’atteindre les deux objectifs suivants :

1. Situer l’entreprise par rapport à des entreprises comparables ;
2. Comparer les résultats avec les résultats antérieurs, tout en dégageant des tendances pour établir des résultats prévisions.

Réponse :


93. Vrai ou faux… La composante « modèle de revenus » décrit comment une entreprise de restauration entend si prendre pour générer les revenus et la trésorerie nécessaires pour assurer sa survie et sa progression (à court terme, à moyen terme, à long terme) ?

Réponse :


94. Vrai ou faux… La composante « modèle de coûts » décrit la structure de coût que l’entreprise entend utiliser pour arriver à ses fins, c.-à-d. satisfaire ses clients cibles tout en dépensant moins d’argent qu’elle n’en gagne ?

Réponse :


95. Vrai ou faux… Pour construire ou améliorer le modèle de revenu d’une entreprise de restauration, on doit nécessairement travailler sur les 3 constituantes de base à partir desquelles on génère les revenus d’une entreprise de restauration ?

Réponse :


96. Vrai ou faux… Ces 3 constituantes de base sont ?

1. Le mix de clients servis par l’entreprise (on doit travailler sur l’augmentation de l’achalandage) ;

3. Le mix de produits vendus par l’entreprise (on doit travailler sur l’amélioration de la carte et sur les menus qui en découlent) ;

4. Le mix de prix associés aux produits vendus par l’entreprise (on doit travailler sur l’amélioration du ratio d’efficacité PmD/PmO).

Réponse :


97. Vrai ou faux… La décomposition de la structure de revenus qui caractérise une entreprise de restauration est une étape déterminante, lorsqu’on désire réinventer le modèle d’affaires de cette entreprise ?

Réponse :


98. Vrai ou faux… La décomposition de la structure de coûts qui caractérise une entreprise de restauration est une étape déterminante, lorsqu’on désire réinventer le modèle d’affaires de cette entreprise ?

Réponse :


99. Vrai ou faux… Pour construire ou améliorer le modèle de coûts d’une entreprise de restauration, on doit nécessairement travailler sur les 10 constituantes de base à partir desquelles on produit les coûts d’une entreprise de restauration ?

Réponse :


100. Vrai ou faux… Ces 10 constituantes de base sont ?

1. Le mix de ressources financières dont l’entreprise a besoin pour faire ce qu’elle a à faire (on doit travailler à optimiser le coût des ressources financières que l’entreprises doit utiliser pour acquérir, ou obtenir le droit d’utiliser, l’ensemble des ressources dont elle a besoin pour arriver à ses fins) ;

2. Le mix de ressources humaines dont l’entreprise à besoin pour faire ce qu’elle a à faire (on doit travailler à optimiser le coût des effectifs humains, en termes de nombre de personne et de répartition dans les activités clés que l’entreprise doit utiliser pour arriver à ses fins) ;

3. Le mix de personnes détenant des savoir-faire et des compétences distinctives dont l’entreprise a besoin pour faire ce qu’elle a à faire (on doit travailler à optimiser le coût des personnes possédant des compétences distinctives en matière de stratégie, management, marketing & communication, finance & comptabilité, approvisionnement, production [cuisine], vente et service, théâtralisation, recherche & développement, et, etc. que l’entreprise doit utiliser pour arriver à ses fins) ;

4. Le mix de ressources naturelles autres qu’alimentaires dont l’entreprise à besoin pour faire ce qu’elle a à faire (on doit travailler à optimiser le coût de l’eau, électricité, gaz naturel, pétrole, et, etc. que l’entreprise doit utiliser pour arriver à ses fins) ;

5. Le mix de ressources alimentaires dont l’entreprise a besoin pour faire ce qu’elle a à faire (on doit travailler à optimiser le coût de nourriture et boisson que l’entreprise de restauration doit absolument utiliser pour réaliser sa raison d’être, c.-à-d. restaurer les gens) ;

6. Le mix de ressources matérielles dont l’entreprise a besoin pour faire ce qu’elle a à faire (on doit travailler à optimiser le coût que l’entreprise doit défrayer pour la possession ou l’utilisation des immeubles, terrains, mobiliers, équipements, outils, fournitures, et, etc.) ;

7. Le mix de ressources technologiques dont l’entreprise a besoin pour faire ce qu’elle a à faire (on doit travailler à optimiser le coût des logiciels spécifiques, technologies particulières, et, etc. que l’entreprise doit utiliser pour arriver à ses fins) ;

8. Le mix de ressources intellectuelles dont l’entreprise a besoin pour faire ce qu’elle a à faire (on doit travailler à optimiser le coût des marques de commerce, brevets, droits d’utilisation, recettes secrètes, et, etc. que l’entreprise doit utiliser pour arriver à ses fins) ;

9. Le mix de ressources informationnelles dont l’entreprise a besoin pour faire ce qu’elle a à faire (on doit travailler à optimiser le coût de l’information stratégique sur : le macro environnement, le secteur d’affaires, les clients, les partenaires, les activités clés, les canaux, les revenus, les coûts, et, etc. que l’entreprise doit utiliser pour arriver à ses fins) ;

10. Le temps dont l’entreprise a besoin pour faire ce qu’elle a à faire (on doit travailler à optimiser le coût du temps que l’entreprise doit utiliser pour arriver à ses fins).

Réponse :


101. Vrai faux… Le coût complet des ressources utilisées par les entreprises de restauration incorpore souvent dans chacune de ses constituantes (c.-à-d. dans chacune des 10 catégories de ressources), des coûts d’inefficience ?

Réponse :


102. Vrai ou faux… Les coûts d’inefficience sont des coûts supplémentaires encourus lorsque des ressources non nécessaires ou improductives sont utilisées pour faire ce qu’il y a à faire ?

Réponse :


103. Vrai ou faux… Le modèle de coût des entreprises de restauration incorpore dans sa structure de coût complet, le coût d’inefficience ?

Réponse :


104. Vrai ou faux… Le premier travail du restaurateur désireux d’améliorer la performance financière de son entreprise consiste à éliminer, pour chacune des constituantes de son modèle de coût, les coûts d’inefficience ?

Réponse :


105. Vrai ou faux… Le calcul et l’analyse des écarts de coûts entre les coûts théoriques et les coûts réels (pour les 10 catégories de ressources clés utilisées dans les entreprises) s’avèrent un savoir-faire indispensable pour assurer l’amélioration de la performance financière des entreprises de restauration ?

Réponse :


106. Vrai ou faux... L’activité finance, dans une entreprise de restauration alimentaire consiste premièrement à assurer, pour chaque étape du cycle de vie de l’entreprise [1], l’approvisionnement nécessaire en ressources financières ; la deuxième grande mission de l’activité finance consiste ensuite à maximiser les rendements sur les capitaux investis, en faisant le nécessaire pour utiliser de façon optimale les ressources financières disponibles. Le but ultime de la finance étant, en fin de compte, de maximiser la valeur marchande de l’entreprise. [2] ?

Réponse :


107. Vrai ou faux... La juste valeur marchande d’une entreprise de restauration alimentaire représente le prix de vente de cette entreprise, si celui-ci a été négocié sans pression sur le marché ouvert entre des parties prudentes et informées intéressées toutes les deux à maximiser leur valeur (l’un en vendant au prix le plus élevé possible, l’autre en achetant au coût le plus bas possible). Cette définition de la valeur marchande peut également s’appliquer pour une entreprise de restauration alimentaire qui est devenue publique, c’est-à-dire une entreprise dont les actions sont cotées en bourse, ou pour une entreprise de restauration alimentaire privée dont le titre n’est pas coté en bourse ?

Réponse :


108. Vrai ou faux... Les décisions à caractère financier, dans une entreprise de restauration alimentaire, devraient donc toujours être évaluées en fonction de leurs répercussions sur l’augmentation ou la diminution de la valeur marchande de l’entreprise ?

Réponse ;


109. Les besoins en ressources financières des entreprises de restauration alimentaire émanent principalement de 2 causes :

Cause 1 —

Cause 2 —

110. Vrai ou faux... Définie de façon extensive, la fonction approvisionnement en ressources financières recouvre l’ensemble des tâches qui ont pour objet de procurer, dans les meilleures conditions et au moindre coût les ressources financières, dont l’entreprise à besoin pour la réalisation de l’ensemble des activités que nécessite sa vocation ?

Réponse :


MÉDIAGRAPHIE

Manuel de gestion-réflexion / Christian Latour ☺


Pour communiquer avec Christian Latour :

• Sur Facebook : Christian Latour
• Sur Twitter : @Christian Latour
• Sur LinkedIn : Christian Latour, MBA

La première version de ce texte a été mise en ligne le 1er novembre 2017.


Notes

[1« [...] dans les phases de naissance ou de croissance forte, le financement peut être comme la première “matière première” du business model. » — Denis Dauchy (2013, p. 117-118)

[2Pour les entreprises inscrites à la bourse, il s’agit plutôt de maximiser la valeur de l’action. Pour en savoir plus sur la création de valeur boursière, je vous vous invite à lire : Geoffrey Moore. (2001). Sur la ligne de faille — Les nouveaux Business Models et la création de valeur à l’ère d’internet. Paris : Maxima.

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